Belnet, ce sont 85 collègues enthousiastes avec différents parcours et expertises. Certains viennent d'embarquer, d'autres ont déjà toute une carrière derrière eux. Pour l'Incident Manager Fernando De Acetis et l'ICT System Manager Gerd Nicasie, l'aventure chez Belnet touche bientôt à sa fin. Avant de partir à la retraite, passons en revue leur carrière.
Quel parcours avez-vous effectué avant de travailler chez Belnet ?
Fernando : « J'ai travaillé pendant 33 ans pour de grandes entreprises IT dans le secteur privé, où j'ai exercé différentes fonctions. Étant donné que l'entreprise pour laquelle je travaillais initialement a été à chaque fois reprise par un autre acteur, j'ai au fond toujours travaillé pour la même entreprise. Mon dernier employeur avant Belnet était HP. »
Gerd : « J'ai travaillé pendant 26 ans pour le journal financier américain The Wall Street Journal à Bruxelles. Lorsque j'ai été engagé en 1981, j'étais l'un des premiers collaborateurs. J'ai commencé à l'époque comme technicien. L'IT n'en était alors qu'à ses balbutiements : les ordinateurs étaient de grands « bacs » que nous devions réparer avec un fer à souder. Je me souviens avoir encore travaillé sur le tout premier PC d'IBM, qui avait coûté quelque 7 500 euros en devise de l'époque ! Plus tard, je me suis aussi occupé des installations. Ma carrière m'a amené à plusieurs reprises dans les différentes implantations du journal à travers toute l'Europe. Lorsque le Wall Street Journal s'est retrouvé entre les mains du magnat des médias Rupert Murdoch, il a tout déménagé à Londres et les 60 membres du personnel à Bruxelles ont fait l'objet d'un licenciement collectif. »
Comment êtes-vous arrivés chez Belnet ?
Gerd : « J'ai ensuite postulé intensivement. Je pense que mon CV a plu à Belnet parce que dans ma fonction précédente, j'étais responsable du centre de données, de l'électricité, de l'UPS, du générateur, de la climatisation et de la détection d'incendie. À ce moment-là, Belnet devait justement déménager dans un nouveau bâtiment à l'avenue Louise et mon expertise en alimentation de secours, en électricité... tombait à point. J'ai également participé à la construction du centre de données. »
Fernando : « En 2014, j'ai décidé de quitter HP parce que je n'adhérais plus à la culture d'entreprise. J'avais l'intention de me mettre au travail en tant que consultant indépendant. Mais à un moment donné, j'ai vu que Belnet cherchait un IT Service Manager et cette offre d'emploi a retenu mon attention. Ma première impression était très positive et les entretiens qui ont suivi pendant ma candidature ont confirmé cette impression. Je trouvais brillant qu'une petite organisation comme Belnet veuille structurer et optimiser ses processus, assurant ainsi qualité et professionnalisme. Un jour, j'ai reçu un appel de la responsable des RH : j'étais le premier à réussir la procédure de sélection et elle voulait savoir si j’étais toujours intéressé. J'ai décidé de relever le défi et de mettre de côté mes projets d'indépendant. Je n'ai encore jamais regretté ce choix. »
« Je suis fier d'avoir contribué à l'évolution et la professionnalisation de nos processus »
Fernando De Acetis, Incident Manager
Comment avez-vous vu évoluer votre fonction ?
Fernando : « Lorsque j'ai commencé chez Belnet, il n'y avait pas encore de département ITSM distinct. Je faisais partie de l'équipe Services et je me chargeais tout seul de la supervision du Service Desk et des processus existants autour de la gestion des incidents. De plus, j'ai été immédiatement chargé d'élaborer le Service Description Document pour un projet de grande envergure. En 2017, Belnet a décidé de mettre sur pied une unité ITSM distincte. Notre défi consistait à développer et professionnaliser les processus existants. Chemin faisant, nous avons mis sur pied nombre de nouveaux processus comme la gestion des problèmes et la gestion du changement, et la cellule ITSM est devenue une équipe de 8 collègues et 1 consultant externe.
Gerd : « Lorsque j'ai commencé dans l'équipe ICT-Logistics, nous étions 4 collègues. Il n'y avait pas de véritable répartition des rôles, chacun effectuait différents types de tâches. Entre-temps, nous sommes 7 et chaque collègue s'est vu assigner un rôle plus spécifique. Je suis moi-même devenu responsable de notre système CRM et d'autres applications. Au bâtiment Platinum, j'étais également responsable de la gestion du centre de données : cela comprenait la sécurité incendie, la gestion des accès, l'UPS et le générateur. À présent, tous les éléments sont beaucoup plus liés qu'auparavant, et sont aussi devenus beaucoup plus complexes. La sécurité est actuellement l'un de nos principaux défis. »
Comment décririez-vous l'ambiance chez Belnet ?
Fernando : « Il y a beaucoup de respect chez Belnet et une politique de porte ouverte : quel que soit le niveau hiérarchique où vous vous trouvez, vous pouvez toujours vous adresser au management pour partager vos idées. Grâce au contact informel à tous les niveaux, Belnet est une organisation très familiale où tout le monde se connaît et s'appelle par son prénom. »
Gerd : « Belnet est une organisation avec de chouettes collègues qui sont prêts à s'entraider. Lorsque je venais de commencer, je devais me familiariser avec Linux. Ce n'était pas évident, mais mes collègues m'ont bien aidé. L'aspect informel est aussi propre à Belnet : en bavardant au coin café et en prenant le lunch ensemble à midi, nous apprenons à nous connaître d'une autre manière. Les événements que Belnet organise pour ses collaborateurs stimulent énormément l'ambiance de groupe. J'apprécie aussi la possibilité de télétravailler, qui était ancrée chez Belnet bien avant la crise du coronavirus. Le fait de pouvoir travailler à la maison de temps à autre apporte une certaine tranquillité et une énergie supplémentaire. »
Quel conseil donneriez-vous à des collègues qui entament leur carrière chez Belnet ?
Gerd: « Le nouvel arrivant est souvent impressionné. Je dirais : prends ton temps, pose des questions – les collègues sont très accessibles – et tout rentrera dans l'ordre. Prends aussi l'initiative toi-même. Tu aimerais te perfectionner ? Sois proactif et mets-toi en quête d'un cours. »
Fernando : « Il est important qu'ils viennent chez Belnet pour faire quelque chose qui les intéresse et les motive. Belnet offre de nombreuses possibilités, même plus que dans le secteur privé. Vous pouvez suivre des formations et apprendre de nouvelles choses chaque jour. Saisissez ces opportunités ! »
« Belnet est une organisation familiale avec de chouettes collègues qui sont prêts à s'entraider »
Gerd Nicasie, ICT System Manager
Last but not least : quels sont vos projets une fois à la retraite ?
Fernando : « J'espère pouvoir consacrer un peu plus de temps à mes hobbies : le tennis, les voyages, mais aussi le jardinage et le bricolage. Je m'imagine aussi faire du bénévolat : des thèmes comme le bien-être des animaux et l'environnement me tiennent à cœur. Pour finir, j'aime apprendre en permanence, je vais donc assurément encore suivre des cours. »
Gerd : « Je fais du fitness depuis plus de 20 ans déjà. Une fois à la retraite, je vais certainement continuer à en faire. Je vais aussi continuer à m'occuper d'informatique et à offrir une aide aux amis et à la famille : ils savent déjà où me trouver lorsqu'ils ont un problème d'ordinateur. Par ailleurs, j'espère visiter de nombreux musées et faire des citytrips. Et je me réjouis de passer plus de temps à la mer, où nous avons un petit studio. »